11 ans après l’assassinat de son fils, le maréchal des logis-chef Imad, une des victimes du terroriste Mohammed Merah, la militante franco-marocaine Latifa Ibn Ziaten poursuit son combat pour la paix et la promotion du dialogue et du respect mutuel.
Un séminaire international sur la réponse urgente en cas d’actes malveillants impliquant l’utilisation des matières radioactives, a entamé ses travaux mardi à Rabat avec la participation d’experts en provenance d’une vingtaine de pays.
Cette rencontre de trois jours se tient dans le cadre de l’Initiative globale de lutte contre le terrorisme nucléaire à laquelle prennent part plusieurs pays dont le Maroc, les Etats-Unis, la Russie, l’Allemagne, l’Australie, le Canada, la Chine, la France, la Grande-Bretagne, l’Italie, le Kazakhstan et la Turquie. L’Agence internationale de l’énergie atomique y participe aussi en tant qu’observateur.
Le Maroc, qui a abrité la première réunion de cette initiative en novembre 2006, a appelé, à l’ouverture de ce séminaire, à une coopération multilatérale entre les pays du Nord et du Sud pour faire face au terrorisme nucléaire.
Le lancement d’un plan d’action de ce programme est prévu en 2008 pour jeter les bases d’un partenariat entre les différents intervenants en matière de lutte contre le terrorisme et de lutte contre la prolifération nucléaire.
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