
Des partisans d’Al-Qaïda et de l’État islamique (EI) estiment que le tremblement de terre du 8 septembre au Maroc est une « punition divine ». Sans manquer de critiquer l’aide internationale dont bénéficient les victimes.
L’un des deux Syriens arrêtés au Maroc le 21 mars dernier, transférait d’importantes sommes d’argent à des combattants marocains ralliées au groupe terroriste Daech.
C’est ce que révèlent les premiers éléments de l’enquête menée par la Brigade nationale de la police judiciaire, selon laquelle le mis en cause a mis son compte bancaire au Maroc à la disposition d’une agence de transfert d’argent en Syrie dirigée par un parent, en vue de transférer et recevoir des sommes d’argent en contrepartie de commissions sur ces opérations illégales.
Par ailleurs, l’enquête a permis l’arrestation de deux Marocains à Casablanca et Taounate accusés d’avoir placé des fonds sur le compte du ressortissant syrien en 2017 et 2018, tandis que l’autre Syrien arrêté est accusé d’avoir reçu sur son compte bancaire des sommes d’argent dont l’origine est douteuse.
Tous les accusés ont été placés en garde à vue en attendant leur présentation au juge.
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