
Un mariage célébré au Maroc a connu un dénouement inattendu et triste. Le marié a prononcé le divorce le soir même des noces, suite au refus de sa jeune épouse de revêtir la traditionnelle tenue amazighe.
Telle est la consigne du Comité des droits économiques, sociaux et culturels du Haut Commissariat aux droits de l’Homme (OHCHR) dépendant des Nations Unies. Des associations amazigh, dont « Tamazgha », s’élèvent contre le fait que ni l’AMDH, ni l’OMDH n’ont jugé bon d’inscrire cette requête dans leur tableau de revendications.
Cette demande d’officialisation de la langue berbère n’a pas été non plus mentionnée par la dépêche de la MAP pourtant consacrée au rapport de l’OHCHR.
Dans son rapport, le Comité « invite le Maroc à considérer la possibilité de consacrer dans la Constitution la langue amazighe comme une des langues officielles et l’encourage à prendre les mesures nécessaires pour permettre aux parents de donner un nom amazigh à leurs enfants ».
Le Journal hebdo
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