Ces traces ne comportaient aucun message ou symbole insultant envers la communauté musulmane, ajoute le site qui précise que la mairie a procédé à leur nettoyage dans l’après-midi même.
« En s’attaquant aux morts, on blesse aussi les vivants et de tels actes mettent à mal le vivre ensemble dans un contexte déjà troublé », a estimé le président de l’Observatoire de l’islamophobie, Abdallah Zekri évaluant le nombre d’actes anti-musulmans à 380 et 400 en 2015 sur la base des plaintes et mains courantes déposées auprès de la police et de la gendarmerie.