Infrastructures routières : le Maroc dans le Top 20 mondial
Selon le classement d’une plateforme spécialisée axé sur la qualité des infrastructures routières, le Maroc figure parmi les 20 pays ayant les meilleures routes au monde.
Sécurité routière : le Maroc mise sur l’infrastructure
Le ministère de l’Équipement et de l’Eau investit près de 18 milliards de dirhams chaque année pour mettre en œuvre des projets routiers, a affirmé Nizar Baraka mercredi, lors d’un colloque à Rabat.
Dans son discours à l’ouverture du colloque national organisé par le ministère, en partenariat avec l’Association marocaine permanente des congrès de la route (AMPCR), sur le thème « Exploitation et Sécurité des Routes en zones de montagne », Baraka a indiqué que son département déploie régulièrement des équipes spécialisées dans la réouverture des routes dans les zones montagneuses en hiver en raison des chutes de neige, et dans les zones désertiques en été du fait de l’empiètement des dunes de sable sur les routes.
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La stratégie nationale pour la sécurité routière 2017-2026 adoptée par le Maroc, accorde une attention particulière à la sécurisation des infrastructures routières, a déclaré pour sa part Mohamed Abdeljalil, le ministre du Transport et de la Logistique, déplorant toutefois l’augmentation des accidents de la route provoqués par les deux et trois roues. L’espace routier est un « espace partagé qui doit garantir le droit de se déplacer en toute sécurité pour toutes les catégories d’usagers de la route, ce qui peut être réalisé grâce à une infrastructure routière sécurisée », a-t-il précisé.
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Pour renforcer la sécurité routière, des actions urgentes doivent être menées, dont la formation des ressources humaines, l’adoption d’un système spécifique de notation et de classification du réseau routier selon le niveau de sécurité, la mise en place de mécanismes innovants de financement des projets, a ajouté Abdeljalil. Ce colloque de deux jours a permis de faire un état des lieux de la sécurité routière, en termes de conception, de réalisation et d’exploitation, et de rechercher des voies et moyens en vue de développer des infrastructures routières plus sûres et plus sécurisées.
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