Tournage à Ouarzazate du remake de "The hills have eyes"

Mis en scène par le jeune réalisateur français Alexandre Aja, cette pellicule, qui inaugure les Cla-Studios d’Ouarzazate, est un remake d’un classique d’horreur, réalisé en 1977 par l’américain Wess Craven, passé maître de ce genre cinématographique, tel "Le sous-sol de la peur " (1992).
Ce film d’aventure qui allait être tourné d’abord au Mexique, puis en Afrique du sud, comme le souligne Samy Layani, son producteur exécutif, verra ses séquences extérieures et intérieures tournées respectivement à Marrakech et à Ouarzazate.
Célèbre surtout pour avoir filmé "Haute tension", Alexandre Aja, fils du metteur en scène français Alexandre Arcady, renoue avec les films d’angoisse et compte à cet effet s’attacher les services de simples acteurs de feuilletons télévisés, en raison du budget, estimé moyen par Samy Layani.
Pour les besoins de cette production, Alexandre Aja, né en 1977, collaborera avec Grégory Levasseur, avec lequel il avait déjà écrit ses précédents films.
Ce remake relate l’histoire d’une famille (Les Carter) qui lors d’un voyage à travers le nouveau Mexique s’arrête, en plein désert, à une station-service.

L’employer de la station-service envoie la famille sur un raccourci à travers les collines dans le désert.
Après avoir passé sur un piège de métal, leur caravane dévie de la route et s’écrase sur les rochers. La famille sera attaquée par des cannibales déchaînés qui, au moment de s’enfuir, emporteront un bébé avec eux.
Doug, le père du bébé, s’aventure dans les collines à travers une mine qui mène à une ville abandonnée construite jadis pour les besoins d’essais nucléaires. Chemin faisant, il a rencontre Big Brain, un mutant qui explique que les membres de la famille des mutants ont subi des modifications génétiques à cause des tests nucléaires effectués par le gouvernement dans la région. Doug sera donc forcé de lutter et parfois même tuer pour survivre.

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