Aïd al Adha : des mesures strictes pour l’organisation du sacrifice

18 juillet 2020 - 19h30 - Maroc - Ecrit par : I.L

Le gouvernement marocain ne veut prendre aucun risque avec la célébration de l’Aïd al Adha. À ce titre, des mesures sanitaires ont été prises par le ministère de l’Intérieur pour l’organisation en toute sécurité des opérations de sacrifice.

Dans un communiqué publié en ligne, le ministère a indiqué que des autorisations seront désormais délivrées par les autorités locales aux bouchers professionnels et saisonniers. Ceux-ci seront au préalable soumis à des tests au virus, est-il précisé.

Outre ces autorisations, le ministère a promis de leur fournir des produits susceptibles de garantir le respect des mesures préventives en vigueur comme les masques de protection, les produits antiseptiques et désinfectants.

Le département d’Abdelouafi Laftit invite par ailleurs l’ensemble des citoyens à ne traiter qu’avec les personnes munies de ces autorisations, et ce pour préserver leur santé et leur sécurité tout en évitant le risque d’infection.

Bladi.net Google News Suivez bladi.net sur Google News

Bladi.net sur WhatsApp Suivez bladi.net sur WhatsApp

Sujets associés : Santé - Aïd al-Adha 2024 - Coronavirus au Maroc (Covid-19)

Aller plus loin

Conseils de nutrition pour l’Aid Al-Adha

La fête de Aïd Al-Adha sera célébrée dans une ambiance marquée par la peur et le stress d’être d’être contaminé. En dehors du respect des gestes barrières, les spécialistes en...

Ces articles devraient vous intéresser :

Aïd Al Adha au Maroc : cheptel en baisse, prix en hausse

Alors que l’Aïd Al Adha approche, le ministère de l’Agriculture se prépare à faire face à une possible augmentation des prix des moutons au Maroc. L’offre en ovins et caprins destinés à l’abattage est estimée à 5,6 millions de têtes, un chiffre...

Au Maroc, les médecins sont des mauvais payeurs d’impôts

Au Maroc, peu de médecins s’acquittent de leurs impôts. Fort de ce constat, le gouvernement opte désormais pour la retenue à la source pour les revenus de l’ensemble des professions libérales, la déclaration annuelle fiscale ayant montré ses limites.

"Lbouffa" : La cocaïne des pauvres qui inquiète le Maroc

Une nouvelle drogue appelée « Lbouffa » ou « cocaïne des pauvres », détruit les jeunes marocains en silence. Inquiétés par sa propagation rapide, les parents et acteurs de la société civile alertent sur les effets néfastes de cette drogue sur la santé...

Aïd al-Adha : ruée de Marocains vers l’Espagne

Alors que de nombreux Marocains résidant à l’étranger (MRE) rentrent au Maroc pour y passer les congés de l’Aïd al-Adha, certaines familles marocaines font le chemin inverse.

Le Maroc prolonge encore l’état d’urgence sanitaire

Réuni jeudi lors de sa séance hebdomadaire, le conseil de gouvernement a adopté le projet de décret portant prorogation, à nouveau, de l’état d’urgence sanitaire.

Atteint par le Covid-19, Noussair Mazraoui donne de ses nouvelles

L’international marocain Noussair Mazraoui a reçu le soutien de ses fans qui ont appris qu’il a attrapé le Covid-19 lors de sa participation à la coupe du monde Qatar 2022. À son tour, il leur a exprimé sa gratitude.

Le Maroc forme 2800 médecins et 5600 infirmiers pour la médecine de famille

Afin de développer et consolider la médecine de famille en facilitant l’accès aux soins et services de santé aux Marocains, le gouvernement entend former 2800 médecins et 5600 infirmiers d’ici 2030.

Maroc : des avions pour transporter les malades

Le ministère de la Santé et de la protection sociale vient de lancer un appel d’offres d’un montant de 30 millions de dirhams pour la location d’avions dédiés au transport rapide des malades.

Au Maroc, l’été rime avec piqûres de scorpion

La recrudescence des piqûres de scorpion dans certaines régions du Maroc, en cette période de canicule et de saison estivale, inquiète. Les spécialistes appellent les citoyens à prendre les précautions pour prévenir ces piqûres mortelles.

"L’boufa", la nouvelle menace pour la société marocaine

Le Maroc pourrait faire face à une grave crise sanitaire et à une augmentation des incidents de violence et de criminalité, en raison de la propagation rapide de la drogue «  l’boufa  » qui détruit les jeunes marocains en silence.