Vendredi dernier une institutrice s’est arrogée le droit de couper les cheveux d’un élève sous prétexte qu’ils étaient très longs et non islamiques. Toujours sous le choc, Farès n’est toujours pas retourné à l’école. En attendant, ses parents exigent des excuses publiques de la part de l’enseignante alors que l’inspection académique s’est saisie de l’affaire et va examiner ce cas en conseil de discipline.
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