« Je trouve ça très inélégant. Rien ne me ferait plus horreur ! », a répondu Leïla Slimani, contactée par France Télévisions à la déclaration de la candidate Les Républicains, qui a évoqué son nom pour intégrer son futur gouvernement comme potentielle ministre de la Francophonie. « Ceci dit, ça ferait (toutefois) une belle idée de roman !, a ajouté la romancière. Outre l’écrivaine franco-marocaine, d’autres personnalités comme l’ancien chef d’état-major des armées Pierre de Villiers (portefeuille de la Défense) et le judoka Teddy Riner (poste de ministre de la Jeunesse) ont également refusé l’offre de Valérie Pécresse.
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L’entourage de la candidate a tenu à apporter des clarifications au sujet de l’offre. Il s’agit seulement d’une « réponse spontanée à une question », assure-t-on. Valérie Pécresse s’est, elle-même, fendue, d’un tweet pour apporter des explications sur son offre. Il n’avait “jamais” été question de présenter les membres de son « futur gouvernement », a-t-elle clarifié. « Comme dans un ’Questionnaire de Proust’, j’ai cité des personnalités de la société civile avec lesquelles je pourrais travailler même si elles ne partagent pas mes idées », a insisté la candidate.