9 août 2019 - 20h20 - Société
La construction d’une ligne de métro, qui traverse des ruines islamiques du XIe siècle, à Malaga, fait polémique. En dépit des objections du Ministère andalou de la Culture, la compagnie de métro poursuit son œuvre de développement.
Pendant que les conservateurs cherchent à préserver les vestiges de la culture andalou, les modernistes sont plus portés vers la construction de ce métro. Bien que les ruines antiques découvertes soient intactes et bien préservées (les ruines du 11e siècle d’un quartier islamique, connu sous le nom d’Al-Tabbanin), la compagnie de métro n’entend pas écouter les appels des associations. Elle est déterminée à continuer sa mission destructrice.
Pour se justifier, elle avance que le site a été entièrement exploré, avec la technologie 3D, pour une exploitation future des chercheurs. Mieux, elle indique qu’une partie des vestiges non détruits sont déplacés vers un musée payé par ses propres soins. Cette portion, selon les conservateurs, n’est qu’une infirme partie des vestiges retrouvés. « C’est malheureux ce qu’ils ont fait », regrette un habitant de la localité.
Quant au Ministère andalou de la Culture, il pense que cette opération destructrice de la compagnie est une abomination, vu que le quartier maure est désigné comme un patrimoine d’intérêt culturel. Et, pourtant, la compagnie continue de faire la sourde oreille.
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