Cette déclaration faite par Khalid Naciri, ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement marocain, se veut une réponse au texte proposé par la gauche espagnole et approuvé par 327 voix pour une abstention.
"Les forces politiques espagnoles mettent le Maroc au cœur des luttes politiques internes, dans un contexte électoral visant à détourner les regards de la crise économique profonde que connaît l’Espagne" a déclaré le ministre lors d’un point de presse jeudi à Rabat.
L’adoption de ce texte intervient quelques jours seulement après le rejet par le Maroc d’une enquête de l’ONU et de la présence du Minurso à Laayoune, deux requêtes soutenues par l’Espagne.