De nouvelles révélations sur l’affaire du Dr Hassan Tazi
L’affaire du Dr Hassan Tazi, célèbre chirurgien casablancais, placé en détention provisoire à la prison d’Oukacha pour traite d’êtres humains et abus de faiblesse, n’a pas fini...
Le dossier à charge s’alourdit dans l’affaire du Dr Hassan Tazi, célèbre chirurgien casablancais, incarcéré à la prison d’Oukacha pour traite d’êtres humains et abus de faiblesse. De nouvelles accusations ont été portées à son encontre.
Dr Hassan Tazi est accusé d’avoir photographié des patients nécessiteux, afin de les utiliser pour gagner l’argent de bienfaiteurs, fait savoir Hespress. Des accusations qu’il rejette en bloc, mettant ainsi en cause la version de l’accusée, Zineb B., classée deuxième dans le rang des responsabilités pénales dans cette affaire. Elle est une intermédiaire, recrutée pour ses capacités à convaincre et à collecter les dons. Le célèbre chirurgien casablancais nie par ailleurs toute relation avec celle-ci.
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Un ensemble de dossiers de patients dont la clinique Achifa recevait une aide financière ont été présentés à Hassan Tazi par les enquêteurs. Il leur a expliqué que les dossiers des patients diffèrent d’un cas à l’autre, et selon le type de couverture santé dont dispose chaque patient. Aussi, a-t-il indiqué que la valeur de la lettre clé “B” varie de 1,3 dirham à 1,1 dirham spécifié dans le cadre de l’assurance maladie. Mais il ressort de l’étude de dossiers de patients qu’il y avait un dépassement total du tarif.
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Celui qu’on surnomme « le médecin des pauvres » expliquera que le sanatorium applique le tarif de la lettre clé “B” d’un montant de 1,3 dirham pour les personnes qui n’ont pas d’assurance ou de couverture maladie avec le consentement du patient.
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