Le cas de rage a été confirmé par l’Institut Pasteur qui a isolé le chiot mort dans la nuit du 7 août, au lendemain de sa mise sous surveillance vétérinaire.
"Six personnes de la famille, ainsi que 17 proches et le vétérinaire, ont d’ores et déjà été mises en relation avec le centre de traitement antirabique du CHU de Nantes pour envisager un éventuel traitement", indique la préfecture de Vendée dans un communiqué.
Les autorités qui préviennent sur les risques de contamination du virus de la rage par morsure, salive, ou au contact d’une plaie, rappellent le danger que peut constituer "le recueil d’animaux d’origine inconnue en provenance de pays exposés à des maladies animales transmissibles à l’homme".