Booder se confie sur ses problèmes de santé

Invité sur l’émission Une heure avec… diffusée sur RFM, l’humoriste franco-marocain Booder a fait d’étonnantes révélations sur son enfance. Il a été très malade lorsqu’il était jeune.

Booder a eu des soucis de santé étant jeune. Enfant, il avait quitté son Maroc natal pour la France où il s’est fait soigner. Dans un extrait exclusif de l’émission Une heure avec… qui sera diffusée dimanche 9 février dès midi sur RFM, dévoilée par Gala, l’humoriste confie avoir été hospitalisé à Necker pendant six ans avec « des allers-retours ». Il avait eu de graves problèmes pulmonaires (asthme sévère et bronchiolite) quelques mois seulement après sa naissance au Maroc.

Aujourd’hui, il a du plaisir à retourner dans cet établissement hospitalier pour soutenir à son tour « les jeunes malades qui ont un vécu similaire au sien. » « Moi aussi j’ai été un enfant hospitalisé et la vie est belle, quoi qu’il arrive. Ça leur fait beaucoup de bien à eux, mais ça me fait énormément de bien à moi », a-t-il déclaré en toute franchise. Il se dit ravi de pouvoir apporter un peu de sourire aux jeunes traversant des épreuves lourdes à cause de problèmes de santé.

En février 2023, Booder s’est inspiré de sa propre histoire en réalisant le film « Le Grand Cirque », une comédie co-signée avec Gaelle Falzerana. L’humoriste incarne le personnage de Momo, « un comédien qui a peu de propositions professionnelles et accepte de devenir clown bénévole pour rendre visite aux enfants hospitalisés. » Pourquoi réaliser ce film ? « J’ai voulu raconter cette histoire parce que c’est vrai que l’hôpital est un lieu qui fait peur à tout le monde. Ça, je peux le comprendre […]. Il y a des gens qui ne veulent même pas en parler et malheureusement, on passera tous par l’hôpital, un jour ou l’autre », a déclaré Booder. Cette comédie est aussi une manière pour l’humoriste de « rendre hommage à ces clowns qui viennent et font rire bénévolement les enfants, mais aussi au personnel hospitalier qui donne de leur temps » pour aider les jeunes malades, souvent en plus de leurs journées de travail chargées.