Don du japon au profit d’un institut de formation

8 février 2005 - 09h02 - Maroc - Ecrit par :

Le Maroc et le Japon ont signé, lundi 7 février, un échange de notes relatif au projet de mise à niveau de l’institut de formation aux engins et à l’entretien routier (IFEER) à Skhirat, financé grâce à un don du gouvernement nippon de 32 millions de DH.

Ainsi, le gouvernement nippon fournira des engins de travaux publics, des équipements d’ateliers et de laboratoire de génie civil, tandis que le Département de l’Equipement se chargera de la construction de l’abri des engins, de la station de lavage et de l’extension du laboratoire d’essais sur une superficie de 435 m2. Les équipements japonais permettront de sauvegarder le patrimoine national des routes et assurer une maintenance efficace.

Map - L’Economiste

Bladi.net Google News Suivez bladi.net sur Google News

Bladi.net sur WhatsApp Suivez bladi.net sur WhatsApp

Sujets associés : Japon - Don - Education - Formation

Ces articles devraient vous intéresser :

Maroc : des centres pour former les futurs mariés

Aawatif Hayar, la ministre de la Solidarité, de l’intégration sociale et de la famille, a annoncé vendredi le lancement, sur l’ensemble du territoire du royaume, de 120 centres « Jisr » dédiés à la formation des futurs mariés sur la gestion de la...

Le Maroc veut le retour des MRE

Le Maroc met les moyens pour faire revenir ses cerveaux. Une enveloppe budgétaire conséquente, et inédite, vient d’être spécifiquement allouée pour inciter les compétences marocaines expatriées à contribuer à l’effort national de recherche et...

Pénurie de médecins au Maroc : Le système de santé à bout de souffle

La pénurie de médecins persiste au Maroc. Par ailleurs, la réduction de la durée de formation en médecine suscite actuellement une vive protestation de la part des étudiants.

C’est la fin des auto-écoles sauvages au Maroc

Le ministre du Transport et de la logistique, Mohamed Abdeljalil, a annoncé une série de réformes concernant les auto-écoles, tant au niveau des conditions d’octroi, de suspension et de retrait des licences que de la formation des instructeurs.

Un Franco-Marocain nommé proviseur d’un lycée historique

Le lycée Banville, à Moulins, a un nouveau proviseur : Aymeric Hilali. Ce Franco-Marocain s’engage entre autres, à « ouvrir davantage » l’établissement par le biais d’intervenants extérieurs.

Ces diplômés marocains qui font le succès d’autres pays

C’est une fuite discrète qui coûte cher au Maroc. Chaque année, des milliers de ses meilleurs éléments quittent le navire, affaiblissant son économie et sa capacité à innover. Un rapport a mis des chiffres sur ce défi majeur et explore les pistes pour...

« Le mariage avant l’école »

Les propos d’Abdelilah Benkirane, secrétaire général du Parti de la justice et du développement (PJD), et par ailleurs ancien chef de gouvernement sur le mariage et l’éducation des jeunes filles font polémique.

Pourquoi les fonctionnaires marocains vont apprendre l’amazigh et l’anglais

Le ministère de l’Économie et des finances veut renforcer les compétences de ses cadres en langue amazighe et en anglais professionnel. Un appel d’offres international d’un montant d’environ 2,6 millions (2 592 000) de dirhams a été lancé à cet effet.

Quand la rentrée scolaire pousse les Marocains à l’endettement

L’approche de la rentrée scolaire et la fin des vacances d’été riment souvent avec le recours aux prêts bancaires devant permettre aux parents marocains de subvenir aux besoins de leurs enfants. Et, les banques se livrent une concurrence très forte.

Maroc : cette violence qui interpelle

La parlementaire Nadia Bouzendoufa, du Parti de l’Authenticité et de la Modernité, interpelle Mohamed Saad Berrada, ministre de l’Éducation nationale sur sa stratégie visant à réviser la circulaire ministérielle n° 14/867 et à adopter des mesures...