Écoles privées au Maroc : mauvaise nouvelle pour les parents
Mauvaise nouvelle pour des parents d’élèves au Maroc. Des écoles privées prévoient d’augmenter encore leurs frais de scolarité à la rentrée prochaine.
Maroc : quid de l’année scolaire ?
Le parlement marocain se préoccupe de la poursuite de l’année scolaire, suspendue à cause du covid-19. La commission de l’Enseignement à la Chambre des représentants, va se réunir le 13 mai 2020. Le bilan de l’enseignement à distance, de la levée du confinement et l’organisation des examens, sont les points qui seront au menu des débats.
L’ordre du jour des travaux de la réunion du 13 mai de la commission de l’enseignement à la Chambre des représentants, comprend plusieurs questions relatives à l’année scolaire en cours. Saïd Amzazi, le ministre de l’Éducation nationale, est donc interpellé pour répondre aux préoccupations des parlementaires.
Le quotidien Al Ahdath Al Maghribia rapporte que le groupe istiqlalien devrait évoquer les mesures préventives mises en œuvre pour contrer la propagation du covid-19 dans les établissements scolaires. Les procédures prévues pour l’organisation des examens ainsi que les perspectives de l’année scolaire en cours, préoccupent également ce groupe. Sur la même lancée, le groupe islamiste va s’intéresser aux mesures prises au niveau des établissements scolaires et universitaires, tandis que le groupe socialiste va exiger des explications sur les premières évaluations des mesures prises depuis le début de la pandémie. La levée du confinement dans le système éducatif, le bilan de l’enseignement à distance et les perspectives de l’année scolaire en cours sont les autres sujets que les parlementaires n’oublieront pas d’évoquer.
Par ailleurs, dans un entretien accordé, le jeudi 7 mai, aux chaînes Al Oula, 2M et Medi 1 TV, El Othmani a déclaré que quatre chaînes publiques dispensent des cours aux élèves. Dans un contexte où l’enseignement à distance a donné des résultats satisfaisants, en plus de ce que les cours dispensés ont atteint 70 % avant la crise, l’hypothèse d’une année blanche est à écarter, a indiqué le chef du gouvernement.
De toutes les façons, le gouvernement s’active à régler tous les problèmes relatifs à l’organisation des examens et à la réussite de l’année scolaire en cours, a rassuré le Chef du gouvernement.
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