Une affaire de moeurs secoue l’université de Kénitra

29 juin 2015 - 19h45 - Maroc - Ecrit par : Bladi.net

Une nouvelle affaire de moeurs touche l’université Ibn Tofail de Kénitra. Un professeur de l’université aurait monnayé des bonnes notes contre des faveurs sexuelles.

Le professeur universitaire choisissait les plus belles étudiantes et leur promettait des bonnes notes en échange de relations sexuelles, rapporte le journal Al Akhbar. C’est une étudiante qui a piégé le professeur en le filmant puis en remettant l’enregistrement à la hiérarchie. Accompagnée de son père, elle a décidé de porter plainte pour harcèlement sexuel.

En attendant de s’assurer de l’authenticité de l’enregistrement soumis par l’étudiante, le ministère de la Recherche scientifique et de la Formation des cadres a décidé de suspendre le professeur et de le présenter devant la conseil de discipline.

Bladi.net Google News Suivez bladi.net sur Google News

Bladi.net sur WhatsApp Suivez bladi.net sur WhatsApp

Sujets associés : Droits et Justice - Education - Kenitra

Aller plus loin

Une affaire de viol collectif secoue la ville de Mohammedia

La préfecture de police de Mohammedia a réagi hier par voie de communiqué pour donner plus d’informations sur l’affaire de viol collectif sur une jeune femme qui secoue la ville...

Une affaire de corruption secoue le parlement marocain

Une affaire de corruption coïncidant avec l’ouverture de la session du printemps du parlement marocain, secoue les arcanes de l’hémicycle. Une vidéo diffusée sur You Tube montre...

Ces articles devraient vous intéresser :

Maroc : augmentation des salaires des enseignants-chercheurs avant fin 2022

Le chef du gouvernement a fait part de son intention d’augmenter les salaires des enseignants-chercheurs avant la fin de 2022, et de signer un accord avec le syndicat avant la fin de l’année. Cette décision a été prise lors d’une réunion entre Aziz...

Accusé de viol, Achraf Hakimi se sent « trompé et piégé », selon ses proches

Achraf Hakimi a été mis en examen vendredi pour viol. Le défenseur marocain du Paris Saint-Germain (PSG), qui nie les faits, est soutenu par sa famille et son club. Selon ses proches, il dit se sentir « trompé ».

Affaire "Hamza Mon Bébé" : Dounia Batma présente de nouvelles preuves

La chanteuse marocaine Dounia Batma confie avoir présenté de nouveaux documents à la justice susceptibles de changer le verdict en sa faveur.

Maroc : révocation en vue des députés poursuivis par la justice

Les députés poursuivis par la justice pour détournement ou dilapidation de fonds au Maroc pourraient être déchus de leurs mandats. La Chambre des représentants s’apprête à voter des amendements dans ce sens.

Maîtrise de l’anglais : le Maroc à la traîne

Alors que les Marocains délaissent de plus en plus le français pour l’anglais, le Maroc est encore à la traîne quant à la maitrise de langue de Shakespeare.

L’enseignement de la langue amazighe généralisé dans les écoles marocaines

Le ministère de l’Éducation nationale, du Préscolaire et des Sports vient d’annoncer son plan de généralisation de l’enseignement de la langue amazighe dans tous les établissements du primaire d’ici à l’année 2029-2030.

Maroc : constat inquiétant pour les élèves

L’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) a publié les résultats du Programme international pour le suivi des acquis des élèves (PISA) pour 2022, révélant des difficultés majeures dans l’apprentissage au sein de l’école...

Deux fonctionnaires du consulat du Maroc à Barcelone en prison

Accusés de détournement de fonds, deux anciens fonctionnaires du consulat du Maroc à Barcelone ont été placés en détention, mercredi, par le procureur général du Roi près du tribunal des crimes financiers de Rabat.

Maroc : les crimes financiers ont baissé de 47% en 2021

La lutte contre les crimes financiers et économiques au Maroc porte peu à peu ses fruits. En 2021, les affaires liées à ces délits ont fortement régressé de 47,30%, selon le rapport annuel de la présidence du parquet.

Corruption au Maroc : des élus et entrepreneurs devant la justice

Au Maroc, plusieurs députés et élus locaux sont poursuivis devant la justice pour les infractions présumées de corruption et d’abus de pouvoir.