24 octobre 2021 - 18h00 - Maroc - Par: S.A
Près d’un an après, la normalisation des relations diplomatiques entre le Maroc et Israël continue de susciter des réactions. Un parti politique marocain porte un regard critique sur ce rapprochement historique.
« La normalisation est un crime contre le Maroc, car les dirigeants du pays ouvrent grandement la porte à la pénétration culturelle, politique, éducative et sécuritaire », a déclaré Fathallah Arsalane, porte-parole d’Al Adl Wal Ihssane (AWI) dans un entretien à Arabi21. Selon lui, le crime se double lorsqu’il dépasse les relations commerciales et économiques pour l’identité et les valeurs, et cible les jeunes étudiants, intensifie les accords entre universités, etc.
À lire : Le PJD ne digère toujours pas la normalisation Maroc-Israël
Le responsable du mouvement islamiste note que le préjudice du rapprochement Maroc-Israël va au-delà des mots, car cela se traduit en « faits tangibles sur le terrain ». A titre illustratif, il parle de la crise avec l’Algérie et de la saturation du marché marocain en dattes. Des constats qui poussent Fathallah Arsalane à affirmer que cette normalisation n’apportera jamais de stabilité ou des avantages économiques.
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