La justice s’intéresse aux investissements immobiliers d’André Ohanian à Marrakech

13 mars 2015 - 18h03 - Maroc - Ecrit par : Bladi.net

L’homme d’affaires André Ohanian, connu entre autres pour être le propriétaire du restaurant Jad Mahal à Marrakech, aurait été placé en garde à vue à Nanterre hier, jeudi.

La justice lui reproche ses liens avec un autre homme d’affaires, Serge Kasparian, écroué depuis octobre dernier dans l’affaire cercle Cadet.

Selon le site du parisien, le mari d’Adriana Karembeu a été placé en garde à vue jeudi, la justice tente d’en savoir plus sur ses relations avec l’homme d’affaires et surtout un prêt de 30.000 euros. Il serait également interrogé sur ses activités à Marrakech où André Ohanian a beaucoup investi dans l’immobilier.

Marié à Adriana Karembeu depuis mai 2014, André Ohanian est connu à Marrakech pour être le propriétaire de palais-restaurant Jad Mahal, l’un des plus courus de la ville ocre.

Bladi.net Google News Suivez bladi.net sur Google News

Bladi.net sur WhatsApp Suivez bladi.net sur WhatsApp

Sujets associés : Marrakech - Droits et Justice

Aller plus loin

Adriana Karembeu se marie à Marrakech

L’ambassadrice de charme de la Croix Rouge, Adriana Karembeu, devrait se marier en décembre prochain au Maroc avec le musicien André Ohanian, quelques mois seulement après son...

Adriana Karembeu se lance dans le SPA à Mohammedia

Le mannequin slovaque Adriana Karembeu va s’installer à Mohammedia, où elle s’est associée avec la propriétaire du spa Roxalina, au quartier du Parc. La jeune femme prévoit d’y...

Mariage d’Adriana Karembeu à Marrakech

Adriana Karembeu, 42 ans, ambassadrice de charme de la Croix Rouge, célèbre finalement son mariage à Marrakech dans la deuxième quinzaine du mois de juin avec Aram Ohanian,...

Ces articles devraient vous intéresser :

Naïma Samih : son fils en colère

Chems-Eddine Belkaid fils de la chanteuse marocaine défunte Naïma Samih, menace d’engager des poursuites judiciaires contre les organisateurs de concerts – hommage à sa mère sans son accord préalable.

Maroc : un magistrat sévèrement sanctionné

Le Conseil supérieur du pouvoir judiciaire vient d’ordonner la révocation d’un juge exerçant dans un tribunal de première instance, condamné pour corruption. Le magistrat a été pris en flagrant délit, alors qu’il recevait la somme de 500 dirhams de la...

Maroc : des biens et des comptes bancaires de parlementaires saisis

Au Maroc, les parquets des tribunaux de première instance ont commencé à transmettre aux nouvelles chambres chargées des crimes de blanchiment d’argent les dossiers des présidents de commune et des parlementaires condamnés pour dilapidation et...

ADN au Maroc : vers un fichage incontrôlé ?

L’utilisation à des fin illégales des empreintes et des échantillons d’ADN des Marocains, prélevés dans le cadre des enquêtes criminelles, préoccupe des parlementaires qui ont interpelé le gouvernement à ce sujet.

Annulation des accords UE-Maroc : le Polisario jubile

Le Front Polisario a salué la décision de la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) annulant les accords de pêche entre l’UE et le Maroc, la considérant comme un « triomphe de la résistance ».

Mohamed Ihattaren rattrapé par la justice

Selon un média néerlandais, Mohamed Ihattaren aurait des démêlés avec la justice. Le joueur d’origine marocaine serait poursuivi pour agression et tentative d’incitation à la menace.

Litige en copropriété au Maroc : la justice donne raison au résident

La justice marocaine a débouté un syndic de propriétaires qui demandait d’enjoindre un résident à s’acquitter de la somme de 5 700 dirhams correspondant aux cotisations mensuelles.

Maroc : 30 députés éclaboussés par des affaires de corruption

Au total, 30 députés marocains sont poursuivis par la justice en leur qualité de président de commune pour leur implication présumée dans des affaires de corruption, de dilapidation de deniers publics, de chantage, et de falsification de documents...

Un enfant né d’un viol ouvre une brèche dans le droit marocain

Saisie par une jeune maman qui cherche à obtenir une indemnisation pour son fils issu d’un viol, la cour de cassation marocaine a rendu une décision qui va faire date.

Corruption : Rachid M’barki reconnaît les faits

Après avoir juré, sous serment, en mars dernier devant la commission d’enquête parlementaire sur les ingérences étrangères, n’avoir jamais perçu de rémunération occulte en contrepartie de la diffusion d’informations erronées ou très orientées pour...