
Les calculs astronomiques prévoient la célébration de l’Aïd Al fitr au Maroc le lundi 31 mars 2025, contrairement à plusieurs pays arabes et européens, mais l’observation de la lune reste pour l’instant l’option privilégiée par les autorités...
Une enquête a été ouverte suite à l’ouverture d’une boîte de nuit d’un type particulier, dans la ville de Djeddah. Les responsables n’en auraient reçu aucune autorisation.
Un communiqué de l’Autorité générale pour le Divertissement (AGD) a rappelé à l’ordre les responsables de la boîte de nuit en question. En effet, d’après cette institution, tout est parti de la diffusion de vidéos sur internet, montrant supposément l’intérieur de la boîte de nuit qui, selon les éléments reçus, serait "un projet obscène et donc en violation avec les procédures et règlements légaux en vigueur et n’ayant donc pas été autorisé par l’Autorité".
A en croire l’AGD, "l’autorisation initialement délivrée concerne un autre événement". Le communiqué indique également que "son contractant a ensuite profité d’une extension de cette autorisation pour commettre ces infractions graves et inacceptables".
Le projet avait d’ailleurs fait les choux gras des médias régionaux qui avaient annoncé l’ouverture du premier "night-club halal", sur le front de mer de Djeddah. Il s’agirait d’une "branche des night-clubs "White", qui possède des clubs à Dubaï et Beyrouth", et des vedettes américaines de la chanson, telle que Ne-Yo, étaient supposées venir y chanter.
Évidemment, fait observer tsa-algerie.com, le projet n’avait pas tardé à déclencher des "réactions mitigées sur les réseaux sociaux en Arabie saoudite". En effet, ajoute ce média, d’aucuns avaient "salué l’annonce comme faisant partie du vaste programme de réformes du prince héritier, Mohammed Ben Salman". En revanche, "d’autres ont fortement critiqué l’ouverture du night-club, affirmant que cela violait l’identité et les traditions islamiques de l’Arabie saoudite".
Ces articles devraient vous intéresser :