L’armée « sahraouie » veut entrer en guerre contre le Maroc (vidéo)
16 novembre 2020 - 11h30 - Maroc - Ecrit par : S.A
L’« armée populaire de libération sahraouie » (APLS) compte entrer en guerre contre le Maroc après que les Forces armées royales (FAR) ont, vendredi, déployé un cordon de sécurité dans la zone tampon de Guerguerat pour sécuriser le flux des biens et des personnes. Une opération militaire qui a mis en déroute les miliciens du Polisario.
« Il n’y a plus de place aux discours, la patrie ou la mort en martyr pour parachever la souveraineté », lance un officier de l’APLS dans une vidéo diffusée par plusieurs médias dont la chaîne russe RT. Cet officier s’est adressé à des unités opérationnelles. Pour lui, l’heure de vérité est arrivée. L’armée « sahraouie » « se tient prête à (exécuter) toute décision que prendrait le Front Polisario et sa direction », a-t-il déclaré, ajoutant que l’unité spéciale est prête au combat et est en poste.
Samedi, l’armée « sahraouie » s’est fendue d’un communiqué pour annoncer la poursuite de ses attaques intensives contre les bases militaires marocaines. « Les unités de l’APLS poursuivent leurs attaques contre les différentes positions de l’ennemi se trouvant dans les différentes régions du Sahara occidental ayant causé des pertes en vies humaines et matérielles aux forces de l’occupation marocaine et une situation de confusion quant à ses plans militaires ».
Les éléments des Forces armées royales (FAR) ont apporté la riposte nécessaire aux tirs de harcèlement effectués par les miliciens du Polisario le long de la ligne de défense.
Face au regain de tension entre le Maroc et le Polisario, le général de corps d’armée Chengriha Saïd, chef d’état-major de l’Armée nationale populaire (ANP) appelle à la...
Sur instructions du roi Mohammed VI, chef d’état-major général et chef suprême des armées, les Forces armées royales (FAR) ont apporté, vendredi 13 novembre, une solution «...
Le roi Mohammed VI a eu, lundi 16 novembre, un entretien téléphonique avec le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres au sujet des derniers développements de la question...