Flou autour de la reprise de Bombardier au Maroc
De nombreuses incertitudes entourent la reprise des sites de Bombardier à Belfast, en Irlande, et à Nouaceur, au Maroc. Et pour cause.
Le groupe canadien Bombardier et l’entreprise américaine Spirit AeroSystems ont fini par accorder leur violon. Désormais, Spirit AeroSystems se chargera des usines de Bombardier à Casablanca, à Belfast, en Irlande du Nord, et à Dallas aux États-Unis.
L’annonce de l’accord signé par les deux parties a été faite lundi par le groupe canadien Bombardier. Il parle d’une entente amendée pour la cession de ses activités d’aérostructures à l’avionneur Spirit AeroSystems, pour la somme de 275 millions de dollars au lieu des 500 millions initialement prévus.
L’accord prendra effet à compter du 30 octobre. Pour Éric Martel, le président et chef de la direction à Bombardier, cet accord pourrait aider à repositionner Bombardier comme une entreprise axée sur les avions d’affaires, rapporte Challenge.
Selon la même source, le repreneur américain s’était engagé à honorer tous les engagements de Bombardier au Maroc, dont les projets d’extensions de l’usine.
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