Selon L’Économiste, le ministère de la Santé, s’inscrivant dans la logique des recommandations internationales, invite les praticiens à établir des conseils médicaux à distance et des prescriptions électroniques à la place de la prise en charge physique.
Toutefois, le département ministériel autorise un seul cabinet dentaire à ouvrir par province afin d’assurer une présence pour les cas d’urgence extrêmes (pulpite aiguë irréversible, traumatisme, hémorragie…).
Par ailleurs, le ministre invite les dentistes, face aux risques élevés de contaminations, à renoncer formellement à la prise en charge de patients présentant des signes grippaux (toux, éternuement…) .