
Au Maroc, les mères célibataires continuent d’être victimes de préjugés et de discriminations. Pour preuve, la loi marocaine n’autorise pas ces femmes à demander des tests ADN pour établir la paternité de leur enfant.
Une dizaine de jeunes femmes marocaines et algériennes ont été interrogées lors du démantèlement d’un réseau de call-girls de luxe à Paris mercredi.
La tête du réseau, une femme de 37 ans, est accusée d’avoir mis en relation des hommes d’affaires du Moyen Orient avec ces jeunes femmes.
La maquerelle, présentée au parquet de Paris vendredi, arrangeait ces rendez-vous dans des hôtels de luxe de la capitale française. Les tarifs variaient de 800 à 1500 euros la nuit et de 10 à 15.000 euros le weekend.
Les jeunes prostituées touchaient la moitié de ces sommes selon la Brigade de répression du proxénétisme (BRP) française.
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