
La condamnation d’Omar Radi préoccupe les États-Unis
Les États-Unis se disent “préoccupés” par le cas du journaliste marocain Omar Radi, également défenseur des droits humains, condamné en appel à six ans de prison ferme pour viol...
La Cour d’appel de Casablanca a condamné ce lundi 19 juillet, le journaliste Omar Radi à 6 ans de prison. Une mauvaise nouvelle pour les associations de défense des droits de l’Homme, qui ont tout le temps appelé à sa libération, dénonçant un procès politique. Le journaliste marocain faisait l’objet d’une double enquête d’« espionnage » et de « viol »
En détention préventive depuis près d’un an, le journaliste est désormais fixé sur son sort. Il écope de six ans de prison tandis que son collègue et ami, Imad Stitou, a été condamné à un an de prison, dont six mois avec sursis. Il était accusé d’« atteinte à la sécurité intérieure de l’État » et d’avoir reçu des « financements étrangers » en lien avec « des services de renseignement ».
À lire : Affaire Omar Radi : la réponse d’Amnesty International au Maroc
Le mardi 6 juillet devant le juge, Omar Radi a réfuté les accusations d’espionnage qui le visent. Pendant tous ces mois de détention, il a tout le temps rejeté les accusations qui pèsent contre lui. Il a même entamé une grève de la faim pour protester contre sa détention.
Aller plus loin
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Le journaliste Omar Radi a suspendu vendredi sa grève de la faim entamée, il y a 21 jours, pour des raisons de santé, a annoncé sa famille.
Accusé de viol et d’espionnage, le journaliste marocain Omar Radi a été condamné en appel jeudi à six ans de prison ferme.
Dans le cadre du procès du journaliste Omar Radi, Arnaud Simons dont le nom a été cité comme ayant été un « agent de pays étranger » avec lequel Omar aurait entretenu des...
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