L’école Al-Badr à Toulouse
La plus haute juridiction française a donc validé la décision de la justice prononçant la fermeture de l’école Al-Badr à Toulouse et la condamnation de son directeur pour « enseignement non conforme », conformément à la loi votée en avril dernier renforçant les mesures pour prévenir la radicalisation.
En décembre dernier, le tribunal correctionnel de Toulouse avait condamné son directeur à 4 mois de prison avec sursis et une interdiction de diriger un établissement, alors que l’association gérant l’école a été condamnée à 5.000 euros d’amende ainsi qu’une « interdiction définitive d’exercer ».
Malgré cette décision, l’école est toujours ouverte mais gérée par une autre association qui prévoit même l’ouverture de classes de collège l’année prochaine.