Un haut responsable marocain risque de perdre la nationalité française
L’ancien directeur de l’Agence urbaine de Marrakech risque de perdre la nationalité française. L’homme purge une peine de 10 ans de prison, pour une affaire de corruption.
Un Marocain s’est vu refuser la nationalité espagnole en appel après avoir passé 13 ans à Ceuta avec sa famille. Son dossier a été rejeté en raison de son « intégration insuffisante ».
Le recours formé par ce Marocain au sujet de sa naturalisation a été rejeté par la Chambre des litiges de la Cour Suprême, rapporte El Faro de Ceuta.
Selon la même source, l’examen d’intégration ne prend pas seulement en compte la connaissance de la langue mais s’appuie plutôt sur la maîtrise des "aspects fondamentaux de la réalité culturelle, constitutionnelle et politique de l’Espagne".
Le requérant, grâce à ses nombreuses années passées en Espagne est capable de s’exprimer en espagnol. Son intégration insuffisante se justifie par sa non-maîtrise de certaines questions essentielles sur l’Espagne.
L’autre facteur qui invalide la demande du Marocain est lié au volet sanitaire. Le requérant souffre d’un degré d’incapacité de 53% (dû à une maladie du système métabolique endocrinien due au diabète).
Aller plus loin
L’ancien directeur de l’Agence urbaine de Marrakech risque de perdre la nationalité française. L’homme purge une peine de 10 ans de prison, pour une affaire de corruption.
L’économiste marocain Jamal El Anbi, 28 ans, a finalement obtenu la nationalité espagnole, après plusieurs années au cours desquelles son dossier est resté sans évoluer.
Dans la foulée des récentes décisions du gouvernement français pour lutter contre le séparatisme en France, l’ancienne ministre de la Justice sous Nicolas Sarkozy, Rachida Dati...
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