Un parlementaire du parti de l’Istiqlal vient d’appeler Nasser Bourita, ministre des Affaires étrangères et de la Coopération africaine, à agir pour combattre les attaques racistes répétées ciblant les Marocains résidant à l’étranger (MRE).
120 personnes ont rendu hommage dimanche au jeune Marocain jeté dans la Seine le 1er mai 1995 en marge d’une manif du FN
Bouarram, 29 ans, avait été jeté dans l’eau du pont du Carrousel, à Paris, par des manifestants issus du cortège du Front national. Il s’était noyé.
La mort de Brahim, le 1er mai 1995, "c’est la marque de la haine qui défile de l’autre côté du Carroussel", a déclaré Michel Tubiana, président de la Ligue des droits de l’Homme (LDH). Au même moment, se tenait en effet la traditionnelle marche du FN.
Bertrand Delanoë a déposé une gerbe devant la plaque commémorant le crime et déclaré : "Brahim a été assassiné, parce que Marocain, par des criminels et une idéologie. Face au racisme et à l’antisémitisme, il faut rester mobilisé".
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