Drame à Martil

24 juillet 2019 - 13h00 - Maroc - Ecrit par : S.A

La mer a rejeté, le lundi 22 juillet 2019, à Martil, dans le nord du Maroc, le corps d’un adolescent noyé, porté disparu, le samedi 20 juillet.

Venu profiter de la saison estivale des vacances à Martil, l’adolescent de 16 ans ne retournera pas chez lui en vie. Il était dans cette région du Royaume, en compagnie de sa famille originaire de Fès, pour profiter des vacances, relate Hespress. Mais, le sort en décidera autrement.

Noyé dans la méditerranée, sa famille, qui n’avait plus de ses nouvelles, signala sa disparition aux autorités locales.

Elles découvriront le corps sans vie du jeune garçon, rejeté par la mer. Les éléments de la Protection civile placeront ensuite sa dépouille à la morgue de l’Hôpital civil Saniat Rmel.

Pour l’heure, la Police scientifique de Tétouan a ouvert une enquête pour connaître les circonstances de la mort de l’adolescent.

Bladi.net Google News Suivez bladi.net sur Google News

Bladi.net sur WhatsApp Suivez bladi.net sur WhatsApp

Sujets associés : Enfant - Martil - Noyade

Aller plus loin

Maroc : un double homicide familial découvert une décennie plus tard

Arrêtée en 2012 à Martil pour le meurtre de son mari dont elle a jeté le corps dans un puits attenant à leur maison, une femme est accusée d’avoir également assassiné leur fils...

Ces articles devraient vous intéresser :

Enfants de Dounia Batma : Mohamed Al Turk dénonce une exploitation sur les réseaux sociaux

Mohamed Al Turk, l’ex-mari de Dounia Batma actuellement en détention, reproche à la sœur de l’actrice marocaine, Ibtissam, de chercher à gagner la sympathie des Marocains en publiant des photos de leurs filles, Ghazal et Laila Rose, sur les réseaux...

Au Maroc, les hommes font du baby-sitting, et ça ne plaît pas à tout le monde

Outre les femmes, les hommes proposent eux aussi des services de baby-sitting via des applications. De quoi inquiéter bon nombre d’internautes marocains qui s’interrogent sur la protection de l’enfance et la légitimité de ces services.

Un enfant né d’un viol ouvre une brèche dans le droit marocain

Saisie par une jeune maman qui cherche à obtenir une indemnisation pour son fils issu d’un viol, la cour de cassation marocaine a rendu une décision qui va faire date.

Au Maroc, les élèves fêtent la fin d’année scolaire en déchirant leurs cahiers

Au Maroc, des scènes des élèves déchirant leurs cahiers et livres pour annoncer la fin de l’année scolaire, se sont reproduites.

Booder se confie sur ses problèmes de santé

Invité sur l’émission Une heure avec… diffusée sur RFM, l’humoriste franco-marocain Booder a fait d’étonnantes révélations sur son enfance. Il a été très malade lorsqu’il était jeune.

Alerte sur les erreurs d’enregistrement des nouveaux-nés au Maroc

L’Organisation marocaine des droits de l’homme (OMDH) a alerté le ministre de l’Intérieur, Abdelouafi Laftit, au sujet du non-enregistrement des nouveau-nés à leur lieu de naissance, l’invitant à trouver une solution définitive à ce problème.

Mariage des mineurs au Maroc : des chiffres qui font froid dans le dos

Au Maroc, le chemin vers l’éradication du mariage des mineurs reste encore long et parsemé d’embûches. De quoi inquiéter le ministre de la Justice, Abdellatif Ouahbi, qui plaide pour des mesures législatives plus strictes.

Maroc : une école mise en vente avec ses élèves ?

Au Maroc, un agent immobilier se retrouve malgré lui au cœur d’une polémique après avoir publié une annonce de vente d’une école privée en incluant les élèves.

Maroc : du nouveau pour la kafala (adoption)

Présenté par le Groupe socialiste-opposition Ittihadie, le projet de loi N°5.171.22 modifiant l’article 19 de la loi N°15.01 relative à la kafala (adoption) des enfants abandonnés a été adopté à l’unanimité lundi par la Chambre des représentants.

Maroc : mères célibataires, condamnées avant même d’accoucher

Au Maroc, les mères célibataires continuent d’être victimes de préjugés et de discriminations. Pour preuve, la loi marocaine n’autorise pas ces femmes à demander des tests ADN pour établir la paternité de leur enfant.