La Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) a annoncé un grand concours de recrutement de plusieurs grades au sein du corps de la police. Le concours aura lieu le 16 juillet à Rabat et dans d’autres villes si nécessaire. Au total, 6 607...
Matteo Salvini avec un policier marocain
Matteo Salvini, ministre de l’Intérieur et vice-président du Conseil des ministres italien, a témoigné toute sa reconnaissance aux autorités marocaines, suite à l’arrestation mercredi dernier, de Raffaele Vallefuoco, membre du clan mafieux Polverino.
Raffaele Vallefuoco, aura réussi à donner du tournis à la police italienne qui a perdu sa trace dès 2012 après une arrestation puis une libréation en Espagne pour un problème de procédure. Celui que l’on considère comme un chef mafieux affilié à la "Camorra" était recherché depuis cette époque par Interpol.
C’est à Tanger que Raffaele Vallefuoco, âgé de 55 ans et considéré comme le chef présumé d’une cellule de l’organisation Polverino, une branche de la mafia napolitaine Camorra a été finalement arrêté, mercredi dernier. En effet, Raffaele était recherché pour trafic de drogue, assassinats, extorsion de fonds et autres faits de violence.
Sur son compte twitter dans lequel il remercie "les autorités de Rabat", le ministre de l’Intérieur italien a écrit dans son tweet : "douze arrestations pour la mafia à Enna et à Palerme, tandis qu’au Maroc un dangereux fugitif du clan Polverino se retrouve menotté. Le nettoyage continue ! Merci aux forces de l’ordre, aux enquêteurs, aux autorités de Rabat. Pas de trêve aux criminels ! #lamafiamifaschifo".
Raffaele Vallefuoco a été arrêté sur la base d’un mandat d’arrêt international lancé par les autorités italiennes via Interpol e. "le mis en cause a été interpellé à Tanger en exécution d’un mandat d’arrêt international émis à son encontre par les autorités judiciaires italiennes et en application d’un avis de recherche à l’échelle internationale, émis en vertu d’une notice rouge délivrée par Interpol, précise la même source.", a précisé la Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN) lors de son interpellation.
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