
Depuis 2019, une Belgo-Marocaine de 73 ans mène des démarches administratives infernales afin de faire rectifier son nom de famille.
Des ONG marocaines en Europe ont lancé, depuis décembre, un “sondage” (cinq questions) auprès d’un échantillon de MRE.
A la question de savoir s’ils étaient d’accord pour qu’un non-MRE préside le Conseil supérieur de la communauté marocaine à l’étranger, 95 % des sondés ont répondu non.
On retient par ailleurs que les “sondés” ne voient pas d’un très bon œil le rôle (de consultation auprès des MRE) joué actuellement par le CCDH dans la gestion du dossier MRE. “Nos résultats ont été compilés à partir de 500 réponses parvenuse de divers pays européens, et même de l’intérieur du Maroc”, nous a déclaré le président de l’une des ONG.
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