Selon le Code de la famille au Maroc, la procédure de divorce ne peut avoir lieu en l’absence des conjoints. À défaut, la tâche de la réconciliation est confiée aux missions diplomatiques ou services consulaires dans le pays de résidence des concernés.
Cette fois, rapporte le journal Assabah, la procédure s’est déroulée au sein d’un tribunal marocain, à Safi. Le juge s’est contenté de la simple procuration du conjoint, remise à son fils, pour rendre son jugement définitif et prononcer le divorce pour mésentente.
La décision de justice, poursuit la même source, aurait été motivée par la présence du conjoint dans un pays étranger. Et, conformément à l’article 400 de la Moudawana, il est nécessaire de prendre en considération les cas de force majeure, afin d’épargner au requérant des dépenses inutiles.