Afin de faciliter l’Opération "Paso del Estrecho" coïncidant avec la tenue du Sommet international du G-7 qui s’est tenu à Biarritz du 23 au 26 août, la Direction générale de la Circulation (DGT) avait élaboré un plan opérationnel de réglementation et de surveillance.
En procédant ainsi, la DGT souhaitait faire face aux conditions de circulation pouvant résulter de la tenue du Sommet international du G-7, rapporte El confidencial digital. En effet, pendant trois jours, ce sommet a coïncidé avec plusieurs événements dont le retour de l’afflux maximal de l’opération "Paso del Estrecho", en provenance du Maroc, le week-end d’été, dans lequel les déplacements sont doublés par rapport à ceux d’un week-end habituel, le retour de voyageurs du Portugal et celui des vacances pour beaucoup de citoyens européens vers leur lieu d’origine.
Tirant leçon de l’année dernière, de l’intensité de trafic accumulée par ces points de passage des frontières qui avait dépassé 200 000 véhicules en direction du pays voisin, la DGT a établi un plan visant à garantir la fluidité et la sécurité des personnes susceptibles d’être touchées.
A cet effet, concernant notamment le Maroc, la DGT confirme que des informations préalables ont été fournies aux voyageurs de l’Opération "Step of the Strait", venant du Royaume. Il leur est surtout demandé d’éviter l’entrée en France par les frontières du Pays Basque, du 23 au 26 août.
De même, il est assuré la distribution d’une brochure d’information dans les principaux ports dont celui d’Algésiras où il est recommandé aux chauffeurs d’éviter les dates du Sommet du G-7. Pour sa part, l’Ambassade d’Espagne au Maroc et les autorités marocaines ont été informées de la situation qui pourrait se produire à la frontière. Ainsi, depuis le Maroc, les citoyens sont également informés qu’ils doivent rentrer en Europe en évitant les passages frontaliers du Pays Basque du 23 au 26 août, appuie la même source.
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