Le Souverain aurait été en colère pour avoir été suivi par des motards dimanche dernier lors de l’une de ses balades sur la corniche de Casablanca juste avant le ftour.
Un convoi du Roi aurait même été bloqué pendant 15 minutes sur la corniche d’Aïn Diab, près du Mégarama. Le phénomène des citoyens qui font tout pour approcher le monarque lors de ses déplacements, aurait été la goutte de trop.
Abderrahim Majni, chef du district d’Anfa aurait quant à lui été affecté à Ouarzazate en raison de la découverte d’une enveloppe suspecte dans la résidence royale, qui n’était en fait qu’une demande d’aide adressée au Roi.
Nommé patron de la police de Casablanca en 2007, Mustapha Mouzouni, gardien de but de l’équipe de football de sa ville natale Jrada dans sa jeunesse, a été pendant des années chef du bureau d’Interpol à Rabat.
L’homme, cité parmi les personnalités appelées à dégager par le Mouvement du 20 février, était pressenti pour diriger en 2009 le bureau d’Interpol à Lyon, en France.
En 2008, il avait été élu vice-président de l’Organisation internationale de police criminelle (Interpol) pour l’Afrique pour un mandat de trois ans.