
L’utilisation à des fin illégales des empreintes et des échantillons d’ADN des Marocains, prélevés dans le cadre des enquêtes criminelles, préoccupe des parlementaires qui ont interpelé le gouvernement à ce sujet.
Ils ont décidé de transiger. Selon nos informations, les dirigeants de l’Agence nationale pour la garantie des droits des mineurs vont finalement négocier avec les anciens mineurs marocains.
Une dizaine d’entre eux ont, en effet, entamé une procédure devant les prud’hommes de Douai pour bénéficier des mêmes indemnités que celles obtenues par les Français et ressortissants européens à la fermeture des Houillières dans les années 1980 (80.000 euros par mineur environ).
L’audience de conciliation, prévue hier, a été reportée au 2 octobre en attendant ces négociations. « Je veux bien transiger, mais il faut que ce soit valable pour mes clients », a réagi l’avocate des ex-mineurs.
Source : 20 Minutes - Vincent Vantighem
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