L’apprentissage de l’anglais dans l’enseignement supérieur, une priorité pour le Maroc
Le Maroc accorde une place de choix à l’apprentissage de l’anglais dans l’enseignement supérieur. Une réforme est en cours.
Formation professionnelle : le roi Mohammed VI met la pression sur le gouvernement
Le roi Mohammed VI a à nouveau réuni le Chef du gouvernement, des responsables d’établissements publics ainsi que ses conseillers pour discuter des avancements sur la très épineuse question de la formation des jeunes.
Dans un communiqué, le Cabinet royal indique que le souverain « a présidé, jeudi 04 avril 2019 au Palais Royal à Rabat, une séance de présentation de la feuille de route relative au développement de la formation professionnelle et à la création des ‘Cités des Métiers et des Compétences’ dans chaque région ».
Et de rappeler que plusieurs autres réunions avaient déjà été organisées dans le passé, principalement dédiées à la promotion de la formation professionnelle.
En octobre dernier, la réunion à laquelle participaient plusieurs membres du gouvernement ainsi que le Chef du gouvernement Saâdeddine El Othmani lui-même était consacrée à la mise à niveau de l’offre de formation professionnelle, à la diversification et valorisation des métiers et la modernisation des méthodes pédagogiques.
Un mois plus tard, le souverain avait présidé une autre réunion sur le suivi de la question de la qualification et de la modernisation du secteur de la formation professionnelle. Il s’était également interrogé sur l’avancement de l’exécution du plan d’accélération industrielle de la région de Souss « qui n’a enregistré aucune avancée depuis son lancement », appelant le département concerné « à redoubler d’efforts et à assumer ses responsabilités, en vue d’accélérer sa mise en œuvre dans les délais impartis »
En février, le roi Mohammed VI avait également présidé une séance de travail consacrée au programme de mise à niveau de l’offre de Formation professionnelle et de rénovation des filières et des méthodes pédagogiques. Le souverain avait demandé au gouvernement d’adopter une démarche réaliste qui trace de manière rigoureuse les priorités en fonction des besoins de l’économie nationale et du marché du travail, des attentes sociales et des aspirations des Marocains.
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