
L’utilisation à des fin illégales des empreintes et des échantillons d’ADN des Marocains, prélevés dans le cadre des enquêtes criminelles, préoccupe des parlementaires qui ont interpelé le gouvernement à ce sujet.
Six ans et neuf mois de prison ont été requis le 7 novembre devant la Cour d’appel de La Haye contre Samir Azzouz, un jeune Maroco-néerlandais accusé de préparatifs d’attentats terroristes, acquitté en première instance en avril, rapporte l’AFP.
L’avocat de Samir Azzouz, Victor Koppe, a pour sa part demandé aux juges des compléments d’enquête, et l’appel de témoins supplémentaires à la barre.
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