
Le Maroc pourrait faire face à une grave crise sanitaire et à une augmentation des incidents de violence et de criminalité, en raison de la propagation rapide de la drogue « l’boufa » qui détruit les jeunes marocains en silence.
Suite à la baisse du chiffre d’affaires du groupe Accor due aux trois mois de fermeture de la majorité de ses hôtels pour cause du coronavirus, de nombreux emplois sont menacés. Le Maroc échapperait, pour l’instant, à cette mesure de suppression d’emplois.
Dans sa présentation des résultats, le président directeur général de Accord, Sébastien Bazin, a indiqué que son groupe résiste avec un bilan robuste et des niveaux de liquidités élevés grâce à sa transformation vers un modèle Asset Light.
À l’en croire, la transformation de l’organisation s’accélère pour réaliser les meilleures performances tout en continuant d’offrir des expériences de qualité aux clients. Bien que comptant des hôtels du groupe Accor sur son territoire, le Maroc est épargné par cette transformation, indique Maroc Hebdo.
Pour Ismail Loubaris, directeur des ventes, de la distribution et du Marketing pour le Maroc du groupe Accor, cette réduction d’effectifs ne prend pas en compte les hôtels du groupe au Maroc qui sont plutôt la propriété notamment de Risma et de la CDG. Elle prend plutôt en compte les effectifs d’Accor au niveau des sièges régionaux entre autres. Le groupe veut réduire ses coûts au niveau mondial à hauteur de 200 millions d’euros d’ici 2022. Pour l’heure, la branche marocaine ne disposerait pas encore des détails de cette réorganisation au niveau mondial.
Poursuivant ses explications, le directeur des ventes du groupe soutient que ces éléments seraient disponibles d’ici fin septembre. "Je pense que ces licenciements vont cibler plutôt les pays où le groupe dispose d’un nombre très important d’hôtels. Par rapport à la santé d’Accor Gestion Maroc, je peux vous dire que l’année a été difficile, non seulement pour nous, mais pour le monde entier", a-t-il admis.
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