Les huit mis en cause au Maroc sont tous des salariés de l’antenne tangéroise du groupe Assu 2000 devenu Vilavi. Ils sont accusés de « traite d’êtres humains », « harcèlement sexuel », « attentat à la pudeur » et « violences verbales et morales ».
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L’affaire Jacques Bouthier est l’un des plus gros scandales de ces dernières années, éclaboussant l’une des plus grosses fortunes de France. Il est incarcéré depuis quelques mois pour « viols, agressions sexuelles, proxénétisme sur mineures en France et au Maroc, ainsi que pour possession de vidéos pédopornographiques, d’abus de biens sociaux, recel et blanchiment en bande organisée ».
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Les victimes marocaines sont des ex-employées qui, soutenues par leurs avocats et l’Association marocaine de défense des victimes, ont demandé à la justice marocaine d’ordonner une commission rogatoire en France au sujet de l’ex-patron de Vilavi.