Investissement privé au Maroc : la banque mondiale sonne l’alarme
L’investissement privé est en chute libre au Maroc. C’est du moins ce que révèle la banque mondiale dans son nouveau rapport de suivi de l’économie marocaine.
Zaïn veut augmenter ses parts dans Inwi
Déjà détenteur de 15,5% dans le capital de l’opérateur de télécommunications marocain Inwi, l’entreprise Koweïtienne Zaïn voudrait voir sa part augmenter.
Selon les propos rapportés par le journal "Daily News", Scott Gegenheimer, le directeur général de l’entreprise "Al Ajial-Zaïn" souhaiterait se développer en Afrique du Nord en prenant, soit des participations majoritaires dans des entreprises de télécommunications soit en remportant des licences dans ces pays.
Mais voilà, le Maroc semble déjà saturé et la seule possibilité offerte serait d’augmenter sa participation dans le capital d’Inwi, dans laquelle il possède déjà 15,5% du capital. De plus, dans un avenir très proche, aucune nouvelle licence n’est à pourvoir.
D’autres pays permettraient à Zaïn de se développer en Afrique du Nord, marché "très intéressant et il y a toujours des opportunités à venir". C’est le cas par exemple de la Libye où le gouvernement de l’après Kadhafi va mettre fin au monopole de l’entreprise publique et attribuer une première licence à un opérateur privé.
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