Au Maroc, la mère divorcée, qui obtient généralement la garde de l’enfant, n’en a pas la tutelle qui revient de droit au père. Les défenseurs des droits des femmes appellent à une réforme du Code de la famille pour corriger ce qu’ils qualifient...
Accusé de discrimination raciale envers les familles pauvres d’immigrés, notamment Marocains, le maire de la petite ville italienne Minerbe s’est attiré les foudres de l’opposition, des réseaux sociaux, de certains médias italiens, et aussi de l’international milanais Antonio Candreva.
Selon le journal La Repubblica, Andrea Girardi, issu de la formation anti-immigration de la Ligue du Nord, imposerait aux établissements scolaires de servir des repas légers aux enfants d’immigrés dont les parents ne se sont pas acquittés des frais de cantine.
Une petite fille d’origine marocaine a ainsi fondu en larmes quand l’école primaire où elle suit sa scolarité a servi des plats garnis de spaghettis à l’ensemble de ses camarades, tandis qu’elle n’a eu que du thon sur des biscuits salés pour le déjeuner.
Cette discrimination a provoqué un tollé dans les médias locaux, et attiré la compassion de l’international milanais, Antonio Candreva, qui a proposé au maire de la petite commune de prendre en charge entièrement les frais de cantine de la petite fille marocaine.
« J’ai parlé ce matin avec l’agent d’Antonio Candreva et nous sommes tombés d’accord sur le fait que le joueur fera une donation directement à l’école », a déclaré le maire de cette petite commune de 4.000 âmes.
« J’ai également parlé dimanche avec Candreva. Il m’a appelé. J’étais très surpris. Il m’a dit qu’il avait lu l’histoire de la petite fille et voulait savoir s’il pouvait aider. »
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