
Alors que le monde connaît une forte concurrence en matière de terres rares et de métaux stratégiques, le Maroc apparaît comme un acteur clé.
L’Office national de l’eau potable a conclu, mercredi, un accord de financement sous forme de don portant sur un montant de 378.000 USD avec l’Agence américaine du commerce et du développement pour financer l’analyse des rejets liquides générés par les unités de traitement de viandes au Maroc.
L’accord vise également l’identification d’un schéma optimal pour le traitement des rejets des unités de traitement de viandes, qui produisent annuellement quelque 230.000 tonnes de viandes et dont la majorité n’est pas reliée aux réseaux d’assainissement.
Les rejets liquides de ces unités sont, par conséquent, déversés dans des bassins primaires ou directement dans le milieu naturel, ce qui occasionne d’importants problèmes de pollution au niveau de ces milieux.
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