Yolanda Martínez, Luna Fernández, Lubna Miludi et Loubna Fares sont les quatre femmes qui seront rapatriées depuis la Syrie avec leurs enfants au nombre de 16, dont le plus âgé a 15 ans et le plus jeune, trois ans. Ces familles de djihadistes ont été capturées en 2014 par des milices kurdes et vivent dans des conditions précaires et insalubres, fait savoir Equinox Magazine.
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Les deux premières femmes sont actuellement détenues dans le camp d’Al Roj, près de la Turquie. La troisième, Lubna, est à Al Hol, non loin de l’Irak, et la quatrième, d’origine marocaine, est veuve d’un Espagnol. Elle est portée disparue depuis février 2020 après s’être enfuie du camp d’Al Hol avec ses trois enfants âgés de 10, 8 et 6 ans.
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Les ministères concernés, dont celui de la Défense, travaillent en synergie en vue de rapatrier, d’ici la fin de l’année, les trois femmes de nationalité espagnole qui ont demandé à rentrer en Espagne avec leurs 13 enfants mineurs. Une fois en Espagne, elles pourraient comparaître devant la justice pour avoir collaboré avec une organisation terroriste, un crime pour lequel elles risquent jusqu’à cinq ans de prison.