La mise en cause, dont le procès a pris fin vendredi dernier, était poursuivie pour escroquerie de plusieurs dizaines de millions de dirhams à l’encontre d’une vingtaine d’hommes d’affaires à qui elle avait promis l’acquisition de biens immobiliers objets de litiges.
Ayant pris la fuite à l’étranger, la femme avait été extradée par les autorités espagnoles, suite à un mandat d’arrêt international lancé par les instances judiciaires marocaines.
Faisant l’objet d’une enquête interne opérée par l’inspection générale de l’agence nationale de la Conservation foncière et du cadastre, la mise en cause a été interpellée à Malaga, après avoir réussi à traverser le port Tanger-Med.