"Bien que le pays ait conservé une société civile dynamique et une presse indépendante", "le gouvernement, aidé par des tribunaux complaisants, a utilisé une législation répressive pour punir et emprisonner des opposants non violents", affirme HRW.
Le rapport pointe également du doigt les nombreux procès menés contre la presse en 2009. Plusieurs publications ont été interdites (Al Michaal, El Pais, Le Monde, TelQuel) et des journalistes condamnés à des amendes faramineuses et des peines de prisons.
HRW fait également remarquer que la France, premier partenaire commercial du Maroc, "a rarement critiqué publiquement les pratiques du royaume matière de droits humains".