
Au Maroc, les mères célibataires continuent d’être victimes de préjugés et de discriminations. Pour preuve, la loi marocaine n’autorise pas ces femmes à demander des tests ADN pour établir la paternité de leur enfant.
Sarah Leah Whitson, directrice de la division Moyen Orient et Afrique du Nord de Human Rights Watch, a appelé mercredi le gouvernement marocain à reconnaitre ouvertement la marocanité des prénoms amazighs.
La reconnaissance des prénoms amazighs, explique Sarah Leah Whitson, constitue un respect vis-à-vis de la différence ethnique et culturelle de la population marocaine.
Le Maroc a émis en avril 2010 une note ministérielle, stipulant que tout citoyen marocain a le droit de choisir le prénom qu’il veut pour son nouveau-né. Pourtant, les bureaux de l’état civil marocain continuent à refuser de nombreux prénoms.
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