Des partisans d’Al-Qaïda et de l’État islamique (EI) estiment que le tremblement de terre du 8 septembre au Maroc est une « punition divine ». Sans manquer de critiquer l’aide internationale dont bénéficient les victimes.
Iliass Azaouaj, imam belge d’origine marocaine parti en Syrie avec la ferme volonté de ramener avec lui des jeunes Belges ayant rejoint les djihadistes, aurait été décapité par les combattants de l’Etat islamique, pour collaboration avec l’ennemi.
Le jeune imam belge d’origine marocaine Iliass Azaouaj aurait été décapité par les combattants de l’Etat islamique (EI) après des soupçons de collaboration avec les services de renseignements belge et marocain, rapportent plusieurs médias belges ce matin.
L’homme n’est pas inconnu en Belgique. Il avait publié l’année dernière une vidéo dans laquelle on le voit avec Joëlle Milquet, ancienne ministre de l’Intérieur belge. Il était également très actif sur les réseaux sociaux, que ce soit Twitter, Facebook et même YouTube.
Son rôle en Syrie reste tout de même très ambigu. Les autorités belges le soupçonnent d’avoir rallié la cause des combattants de l’EI après son arrivée en Syrie, alors qu’il était parti avec la ferme intention de ramener à la raison des jeunes belges embrigadés.
Début juillet, des rumeurs faisaient état de la mort de ce jeune imam de 23 ans, formé à la mosquée Al Khalil de Molenbeek, dans la région bruxelloise. Son dernier message sur ce qui semble être son compte sur Twitter, remonte au 3 juin dernier.
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