
La Direction générale des impôts (DGI) vient de lancer un contrôle des influenceurs des réseaux sociaux, ainsi que certaines professions libérales.
L’imam de la mosquée Hassan II, Omar Al Kazabri, a tenté d’éteindre la polémique suite à ses propos publiés sur Facebook sur la nudité « obscène » des femmes marocaines. Aujourd’hui, l’imam rossignol affirme que son compte Facebook a été piraté.
Dans une déclaration au site hespress, Al Kazabri affirme que les propos publiés sur son compte Facebook ne sont pas de lui et qu’il a été victime de piratage. Ce qui a donc été écrit sur la nudité des femmes marocaines non voilées ne sont pas de lui. Etrange, puisqu’il a fallu attendre plusieurs jours avant que l’imam réagisse. Pressions ou regrets après de tels propos ? nul ne le sait mais l’imam a annoncé avoir déposé une plainte auprès de la police.
Dans un texte publié sur Facebook, l’imam écrit : « La nudité n’est plus une affaire de saison, elle est visible sous nos yeux, hiver comme été. Regardez nos rues. Cela brise le cœur de voir la situation dans laquelle nous nous trouvons, la nudité obscène, l’étrange audace contre les commandements de Dieu, un défi et un outrage à la population ».
Et d’ajouter : « Des femmes jeunes, dénudées, fumant des cigarettes. Où sont leurs tuteurs ? Des filles dénudées, des garçons perdus, tombés dans les filets de la séduction. Ils sont tous victimes d’un complot contre cette nation, un complot dont les responsables ont voulu tuer la pudeur, les valeurs, les principes ».
Ces propos ont depuis été retirés du compte Facebook de l’un des imams les plus populaires au Maroc.
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