Admis en soins intensifs pour une période de 7 jours, le pharmacien de fonction est décédé des suites des complications de sa maladie. Au départ, rapporte le quotidien Al Ahdath, la clinique avait exigé un dépôt de 40 000 dirhams. Une pratique pourtant interdite par le ministère de la Santé.
Suite au décès du pharmacien, les responsables de l’établissement, qui avaient finalement réduit la facture à 140 000 dirhams, ont refusé de remettre la dépouille à ses proches. Ceux-ci devaient d’abord s’acquitter du reliquat.
Indignés par ces actes, les proches de la victime ont médiatisé cette affaire pour faire plier le dirigeant de la clinique, le poussant à réduire la facture de moitié.