Maroc : la belle excuse d’une adolescente pour retrouver son petit ami

1er août 2020 - 20h30 - Maroc - Ecrit par : I.L

Disparue le vendredi 3 juillet dernier de Fkih Ben Saleh, alors qu’elle devrait passer une épreuve du baccalauréat, une adolescente de 17 ans n’a plus donné signe de vie. Retrouvée, samedi 25 juillet dernier, elle a inventé une belle excuse pour tenter de se tirer d’affaire.

Recherchée par ses parents depuis une vingtaine de jours, cette jeune adolescente est finalement de retour chez ses parents. Elle avait fait l’objet d’un avis de recherche rapporte Aujourd’hui le Maroc. Grâce aux recherches entamées par les éléments de la police judiciaire, elle a été retrouvée, jeudi 23 juillet au niveau d’un rond-point de Fkih Ben Saleh.

Ses premières explications n’ont pas convaincu les éléments de la police. Selon le même quotidien, l’adolescente a indiqué avoir été kidnappée par une bande criminelle et violée.

Non convaincus par ses propos, les enquêteurs l’ont soumise à nouveau à un interrogatoire musclé avant qu’elle n’avoue avoir monté cette histoire de toute pièce pour rester en compagnie de son petit ami.

Ce jeune homme de 19 ans a été interpellé et maintenu en détention préventive, en attendant de comparaître devant les juges d’instruction.

Bladi.net Google News Suivez bladi.net sur Google News

Bladi.net sur WhatsApp Suivez bladi.net sur WhatsApp

Sujets associés : Education - Fkih Ben Saleh - Disparition

Ces articles devraient vous intéresser :

Maroc : des centres pour former les futurs mariés

Aawatif Hayar, la ministre de la Solidarité, de l’intégration sociale et de la famille, a annoncé vendredi le lancement, sur l’ensemble du territoire du royaume, de 120 centres « Jisr » dédiés à la formation des futurs mariés sur la gestion de la...

L’anglais s’impose peu à peu dans l’école marocaine

Petit à petit, l’insertion de l’anglais dans l’enseignement se généralise au Maroc. Après le primaire, c’est au tour du collège, selon un communiqué du ministère de l’Éducation nationale dès la prochaine année scolaire.

Écoles privées au Maroc : mauvaise nouvelle pour les parents

Mauvaise nouvelle pour des parents d’élèves au Maroc. Des écoles privées prévoient d’augmenter encore leurs frais de scolarité à la rentrée prochaine.

Au Maroc, les élèves fêtent la fin d’année scolaire en déchirant leurs cahiers

Au Maroc, des scènes des élèves déchirant leurs cahiers et livres pour annoncer la fin de l’année scolaire, se sont reproduites.

Maroc : les écoles privées veulent augmenter les frais de scolarité

Les écoles privées au Maroc menacent d’augmenter les frais de scolarité d’environ 5 %, ce qui leur permettra de récupérer le montant de l’Impôt sur le revenu (IR) pour les enseignants vacataires, qui est passé de 17 à 30 % depuis le 1ᵉʳ janvier de...

Maroc : constat inquiétant pour les élèves

L’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) a publié les résultats du Programme international pour le suivi des acquis des élèves (PISA) pour 2022, révélant des difficultés majeures dans l’apprentissage au sein de l’école...

Écoles françaises au Maroc : polémique sur l’homosexualité

Chakib Benmoussa, ministre de l’Éducation nationale, de l’Enseignement primaire et des Sports, s’est exprimé sur l’adoption par des institutions éducatives étrangères au Maroc de programmes promouvant l’homosexualité.

Maroc : l’enseignement de l’anglais au collège généralisé

L’enseignement de l’anglais sera généralisé dans les collèges au Maroc dès la rentrée scolaire 2023-2024, a annoncé dans une note Chakib Benmoussa, le ministre de l’Éducation nationale, du préscolaire et des sports.

Maroc : les gifles toujours présentes à l’école

Une récente enquête du Conseil supérieur de l’éducation, de la formation et de la recherche scientifique (CSEFRS) lève le voile sur la persistance de pratiques de punitions violentes dans les établissements scolaires marocains.

Après le séisme, le défi éducatif du Maroc sous les tentes

Après le puissant et dévastateur tremblement de terre du 8 septembre, les enfants marocains se rendent à l’école et reçoivent les cours sous des tentes. Certains ont du mal à s’adapter, tandis que d’autres tentent d’« oublier la tragédie ».